AVANTAGES DE DEVENIR VOLONTAIRE
Acquérir une expérience de travail significative en réalisant un stage au sein d’un organisme à vocation environnementale ou sociale.
Développer des compétences pratiques et transférables durant le stage et le projet communautaire collectif en environnement et en saines habitudes de vie.
S’engager concrètement dans un changement pour un mode de vie plus sain. S’engager concrètement pour la protection de l’environnement.
Développer des compétences en écocitoyenneté, faire partie partie d’une citoyenneté engagée et d’être confrontés aux différents enjeux environnementaux et sociaux du Québec.
MANDATS Hiver 2018 (11 janvier au 30 mars)
MONTRÉAL
- Bouffe-Action de Rosemont
- Coop Les récoltes
- Dépôt alimentaire NDG
- Éco-quartier Mercier–Hochelaga-Maisonneuve | Y’a QuelQu’un l’aut’bord du mur
- La Société canadienne pour la conservation de la nature (CNC)
- Le Lion et la souris
- Coopérative de solidarité Miel Montréal
- Piétons Québec
- Réseau des milieux naturels protégés
- Réseau Environnement
- Sentier Urbain
- Vélo Québec
- Vrac environnement
QUÉBEC
- Accès transports viables (ATV)
- Association pour la protection de l’environnement du lac Saint-Charles et des Marais du Nord (APEL)
- Centre culture et environnement Frédéric Back
- Eau Secours!
- Groupe d’éducation et d’écosurveillance de l’eau (G3E)
- Motivaction Jeunesse
- Nature Québec
- Regroupement des organismes de bassins versants du Québec (ROBVQ)
SHERBROOKE
- ADDERE Service-conseil
- Estrie Aide
- La Fabrique Coop
- Récupex
NOS RÉALISATIONS
PROJETS COLLECTIFS
AUTOMNE 2016

MANGE LOCAL
Un premier projet en Estrie. Nos trois éco-volontaires, Marie-Hélène Beaudoin-Gagnon, Maurane Bourgouin et de Kassandra Bellefleur, ont décidé de s’attaquer à des enjeux environnementaux cruciaux: l’alimentation locale et la souveraineté alimentaire. Leur projet collectif communautaire consistait de convaincre des employés de créer des groupes d’achats locaux au sein de leur entreprise. Pour ce faire, elles ont établi un partenariat avec le Marché de solidarité régionale, un organisme sans but lucratif faisant la promotion de l’alimentation locale. Ce projet a permis de promouvoir le Marché de solidarité régionale et les avantages de l’alimentation locale aux diverses entreprises. Jocelyne Nadeau du journal local La Tribune, a également souligné cette initiative en rédigeant un article sur le Marché de solidarité régionale. Finalement, Maurane, Marie-Hélène et Kassandra ont réussi à transmettre leur intérêt et leur passion pour la truite fumée des bobines de la région de l’Estrie. Comme quoi il n’y a pas juste des patates en hiver!

FRIPSTER
L’équipe de Fripster, composée de Fauve Chayer, Lori-Lyne Francoeur, Maude Lamarche, Catherine Poitras-Auger et de Marie-Pier Tremblay, ont choisi de faire leur projet communautaire collectif sur le problème de surconsommation dans l’industrie du vêtement. Bien que tout le monde doive se vêtir, la mode d’aujourd’hui est caractérisée par un modèle de production et de consommation non viable écologiquement et socialement. Elles ont choisi de s’adresser à un public cible, des jeunes de C-Vert, un programme des YMCA du Québec. Leur but était de conscientiser et outiller les jeunes pour qu’ils adoptent des comportements plus écologique et plus respectueux. Leur projet s’est déroulé en trois phases: un atelier de sensibilisation avec des jeunes des différents groupes de C-Vert, le développement d’un guide proposant des alternatives aux tendances actuelles et un événement-atelier de type 5 à 7 avec les jeunes C-Vert+. Cet événement hybride entre une friperie et un échange de vêtements (swap), comportait également des ateliers et des kiosques de transformation de t-shirt en sac, d’impression textile et de réparation). Des jeunes des quatre coins de Montréal sont venus à l’événement, lequel a plu à l’ensemble des participants. Jetez un coup d’oeil au guide pour en connaître plus.

ONITSOA HÔTEL À INSECTES
L’équipe d’Onitsoa est composée d’Anouk Brisebois, Luis Gomez, Ndeye Fatou Mar et de Dominic Savaria. Ils ont décidé de sensibiliser la population montréalaise aux enjeux de l’insuffisance d’abris pour les insectes à travers la fabrication et l’installation d’hôtels à insectes, l’animation dans les écoles, l’organisation d’une conférence et la création d’un site internet sur les insectes pollinisateurs. Toutes ces initiatives offraient différentes pistes de solutions à ce problème. Ceux-ci ont besoin de trouver leur nourriture, mais aussi un lieu pour se réfugier à différents moments de leur vie : passer la nuit ou le jour, se cacher pendant les intempéries, se couvrir pendant l’hiver, se reproduire au printemps, etc. À travers la fabrication et l’installation d’hôtels à insectes, l’animation dans les écoles, l’organisation d’une conférence et la création d’un site internet sur les insectes pollinisateurs, les enjeux et les pistes de solutions. Les membres d’Onitsoa ont installé des hôtels à insecte, ces derniers aident au maintien de la biodiversité tout en étant un excellent outil de sensibilisation pour l’ensemble de la communauté. Avec l’étalement urbain, la perte des habitats naturels et l’utilisation de pesticides nocifs, dont les néonicotinoïdes, le développement des insectes est compromis. Pourtant, les insectes jouent des rôles majeurs, dont le maintien de la biodiversité des ressources. Ils contribuent grandement à la pollinisation de plusieurs végétaux, permettent de lutter contre des espèces nuisibles et agissent en tant que recycleurs en se débarrassant des matières mortes.

DONNES-MOI DONS!
L’équipe de Donne-moi dons! est composée de Bastien Beaucage, Amélie Carignan, Gabrielle Grenier, Katia Lesiack et d’Hélène Schmitt. Ils souhaitaient réaliser un projet manuelet concret et qui serait axé sur les thèmes de la récupération, du don et de la sensibilisation. En réfléchissant sur ces thèmes, ils se sont inspirés de projets existant à Québec, tels que les armoires à livres. Depuis trois ans, de nombreuses bibliothèques communautaires se sont multipliées dans la ville de Québec, tant dans les rues, que dans les édifices. Les dons entre particuliers, eux aussi, sont fréquents, comme en attestent les objets déposés sur les trottoirs et les affiches qui les accompagnent «servez-vous», «à donner»… La population de la ville de Québec aime donc les échanges et la réutilisation au sein de sa communauté et beaucoup de citoyens tentent d’en faire la promotion. Toutefois, ce type d’échange d’objets est quelque peu compliqué et nécessite une certaine organisation : un lieu, des règles, une structure… Ils y ont vu une belle occasion d’aider la communauté. C’est ainsi qu’ils ont créé les armoires à dons. Les armoires «Donne-moi Dons!» ont été très bien accueillies et intégrées au Tam Tam café et au Pech Sherpa de Québec. Les usagers ont rapidement rempli les étagères et ont chaleureusement félicité les volontaires pour leur travail. Le défi est relevé, les armoires renforcent l’esprit de communauté. Elles offrent aussi une nouvelle vie aux objets de petite taille, utiles et fonctionnels, dont le propriétaire souhaite se séparer. Un projet qui nous aide à consommer différemment, en réduisant nos déchets et en limitant les dépenses pour les personnes les plus démunies! Jetez-un coup d’oeil au guide pour en connaître plus.

RÉCOLTES URBAINES
Les membres de l’équipe de Récoltes Urbaine, Katherine Gérard, Audrey Larochelle et Laurie-Ann Rioux, se sont questionnés sur la cueillette des fruits urbains dans la ville de Québec. Au Québec, on retrouve quelques initiatives, notamment Fruits partagés à Rimouski et Récoltes oubliées à Sorel-Tracy. À Montréal, c’est le collectif Les fruits défendus qui assure la cueillette des fruits urbains et leur distribution à ses organismes bénéficiaires, dont le Santropol Roulant. Mais aucun projet de la sorte n’avait été mis en place jusqu’à maintenant dans la Capitale nationale. La mission première de Récoltes urbaines est de lutter contre le gaspillage et l’insécurité alimentaire, en faisant bon usage d’aliments qui autrement seraient inutilisés, faute de main-d’œuvre pour assurer les récoltes. L’initiative permet de faciliter la cueillette de fruits en milieu urbain et assurer leur distribution entre les propriétaires d’arbres fruitiers, les bénévoles- cueilleurs et des organismes de sécurité alimentaire locaux, tel que des banques alimentaires, des soupes populaires et des cuisines collectives. Elle sert également de plateforme pour la promotion de l’agriculture urbaine, la saine alimentation et l’esprit de partage entre les citoyens. La cueillette de fruits urbains permet aussi de mobiliser la communauté, de sensibiliser la population à l’origine des aliments qu’elle consomme et au chemin parcouru du lieu de récolte à l’assiette, en plus d’offrir une excellente occasion de favoriser le bon voisinage et la réflexion autour de l’espace public.
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S'INSCRIRE EN TANT QUE VOLONTAIRE
Les programmes Éco-stage et Socio-stage Katimavik en environnement, développement durable et saines habitudes de vie ne seront malheureusement pas disponibles pour l’automne 2018 et l’hiver 2019.
Restez à l’affût!
Voici les étapes à suivre pour déposer votre candidature à un stage :
ÉTAPE 1
Consultez les conditions d’admissibilité et les modalités du programme et lisez le Guide du/de la volontaire.
ÉTAPE 2
Consultez les mandats de stage de nos organismes partenaires. Vous pouvez postuler pour 2 mandats.
ÉTAPE 3
Remplissez le formulaire d’inscription en ligne (prévoyez 10-12 minutes). Pour simplifier le processus, assurez-vous d’avoir en main votre CV (expérience, parcours scolaire) ainsi que des informations relatives à votre police d’assurance maladie privée (si vous en détenez une) et votre numéro d’assurance-maladie.
ÉTAPE 4
Effectuez le paiement des frais d’inscription de 50,00$. Ces frais sont valides pour toute l’année, ce qui signifie que si vous n’êtes pas sélectionné pour un stage lors de la cohorte automne, vous pourrez vous inscrire pour la cohorte hivernale. Ces frais nous permettent d’offrir le programme à plus de jeunes chaque année. Vous pouvez les acquitter de deux manières:
PAR CHÈQUE:
Katimavik stage
1001 Lenoir, local A-313,
Montréal, QC H4C 2Z6PAR PAYPAL:
ÉTAPE 5
Faites-nous parvenir à : ecostage@katimavik.org les documents suivants pour finaliser votre dossier de candidature :
- Une lettre de motivation en version PDF pour chaque organisme pour lequel vous postulez
- Votre CV en version PDF
- Une copie numérique attestant votre âge et votre citoyenneté ou votre statut de résident permanent
- Une copie numérique de votre plus récent diplôme ou relevé de notes d’études collégiales ou universitaires
- Une copie numérique d’un document attestant que vous résidez au Québec
Notez que la validation de votre inscription est conditionnelle à la réception et à l’approbation de toutes les pièces exigées dans le dossier de candidature.
La sélection se fera en fonction:
- De votre parcours académique
- De vos expériences dans le domaine de l’environnement
- Des profils recherchés par nos partenaires
- De votre motivation à participer à un programme d’apprentissage et d’engagement citoyen
- L’entrevue passée par les partenaires de travail
Si vous avez des questions, n’hésitez pas à nous contacter à ecostage@katimavik.org
Bonne chance à tous et toutes!