Katimavik accepte les candidatures au conseil d’administration
14 septembre 2020 – Katimavik, un des organismes à but non lucratif favorisant l’autonomisation des jeunes, des plus célèbres au Canada, est heureux d’annoncer qu’il accepte actuellement des candidatures pour plusieurs postes au sein de son conseil d’administration.
Depuis sa fondation en 1977 par le regretté sénateur Jacques Hébert et le regretté honorable Barney Danson, Katimavik dirige des programmes de développement de la jeunesse. Katimavik possède une longue et riche histoire de volontariat dans des communautés à travers le pays, comptant plus de 36 000 anciens ayant servi dans plus de 1 000 communautés.
Le conseil d’administration de Katimavik assure la supervision de la gouvernance de l’organisation et aide à déterminer les objectifs stratégiques à long terme. Les postes vacants au sein du conseil d’administration de Katimavik représentent une occasion de façonner le présent et l’avenir de cette institution nationale canadienne légendaire.
Katimavik s’engage à promouvoir la diversité et encourage fortement les personnes de tous âges, de toutes cultures, de tous sexes, de toutes langues, et de tous milieux professionnels et socio-économiques à poser leur candidature par l’entremise de son site web.
La date limite de dépôt des candidatures est fixée au mercredi 30 septembre.
Katimavik offre aux jeunes adultes l’opportunité d’acquérir des compétences personnelles et professionnelles tout en contribuant au développement communautaire par le biais du service volontaire. Le mot ‘Katimavik’ qui signifie ‘lieu de rencontre’ et provient de la langue inuktitute. Depuis 1977, Katimavik rassemble les jeunes Canadiens et Canadiennes pour apprendre, et pour échanger sur leurs cultures et leur langue, et pour aider à bâtir des communautés plus fortes à travers le Canada. Katimavik vise à soutenir le développement des jeunes de tous horizons afin qu’ils deviennent des citoyens engagés, altruistes et outillés à exercer un leadership dans l’amélioration du Canada. Nous y parvenons par le développement des compétences clés du 21e siècle, un apprentissage expérientiel, et l’engagement civique.
